C'est décidé, on divorce !

"Je te quitte, je pars avec les petits chez mes parents le temps qu'on s'organise, tu pourras les voir quand tu veux, j'ai pris un avocat"

"J'ai rencontré quelqu'un et je crois que je suis amoureux, je veux vivre avec elle et il faut donc qu'on divorce"

"Notre couple ne fonctionne plus, on n'est pas heureux, je pense au divorce, faut qu'on prenne le temps de bien faire les choses mais je ne veux plus continuer"

 

la culpabilité dans le divorce

Face à face, par écrit, avec ou sans crises de nerfs, par procuration souvent, lâchement ou avec courage, à dessein ou par dépit, à contre-coeur ou à contre-courant, pour un autre amour ou pour soi-même, pour se protéger, parfois pour fuir, la rupture n'a pas fini de faire couler les larmes et l'encre.

Quitter son partenaire SANS perdre pied

Reconnaissons-le, celui qui quitte l'autre déclenche facilement les foudres de l'entourage et on focalise dans un premier temps sur l'autre, quitté(e), abandonné(e). C'est humain et ça se justifie à plein d'égards mais on occulte encore trop facilement la réalité des couples confrontés à la séparation.

Mille raisons de mettre fin à une histoire, mille façons sans doute aussi et c'est le coeur du sujet de cet article. Chacun est libre de quitter la personne qui partage sa vie, même après des décennies d'union. Là où le fossé se creuse, c'est bien dans la manière de quitter, comment on choisit de rompre avec son partenaire ?

Il y a bien entendu une énorme différence entre deux conjoints qui font un cheminement commun dans l'évidence de leur séparation et leurs voisins qui décident de divorcer après la découverte d'un adultère commis par l'un d'eux.

Vous imaginez bien qu'il y a une diversité infinie de contextes et qu'il serait donc vain de distribuer des conseils valables pour toutes les situations. Cela dit, forts de quelques années d'accompagnement au plus près des couples vivant une séparation, on a quand même décidé de distiller ici quelques retours d'expèriences susceptibles de vous être utiles dans la tempête...

On ne quitte pas sur un coup de tête, un coup de coeur ou un coup de sang

Même si ça semble évident, on tenait à le rappeler, trop de ruptures s'initient encore à la va-vite et il est difficile de revenir en arrière, même si on le désire de toutes ses forces. Aventure extra-conjugale, crise existentielle ou crise de la quarantaine, peu importe comment sera étiqueté ce moment où la vie bascule, le fait est qu'il n'est pas rare d'associer la séparation d'un couple à l'idée de "pétage de plombs" ou même de dépression d'un des deux conjoints.

"Il est devenu fou, je ne le reconnaissais plus, il n'avait même plus le même regard !" Marianne - Oise 

"Elle s'est barrée du jour au lendemain, avec un type rencontré quelques semaines avant dans une soirée chez des amis communs. Je suis resté avec nos deux fils, 6 et 9 ans à l'époque, c'était une catastrophe. Pendant 6 semaines, elle n'est pas revenue, elle appelait de temps en temps les garçons mais je refusais de lui parler par téléphone. Quand elle est revenue, ça a été violent, heureusement qu'on était seuls chez nous, j'étais pas loin d'en venir aux mains alors que je ne suis pas du tout un mec comme ça. On n'a pas réussi à se parler pendant des semaines, elle est allée vivre chez sa mère, son couple avec l'autre débile n'a pas tenu. Je lui en veux encore et ça a mis un énorme foutoir dans ma vie, dans mes cercles d'amis, dans nos familles et surtout chez nos enfants. Elle pouvait faire autrement et elle s'en veut maintenant." Jonathan, Région parisienne.

Nous avons entendu des dizaines de récits analogues, ça doit nous encourager à anticiper les décisions qui semblent parfois s'imposer à nous. En prenant du recul, on peut non seulement mûrir des choix qui vont changer notre vie mais dans ce laps de temps, on va aussi pouvoir penser à la meilleure façon de mettre en oeuvre cette nouvelle direction, tenter d'arrondir les angles de sa rupture.

Est ce que c'est ce que je désire réellement ? Y a t'il un caractère d'urgence à ce que je concrétise cette décision, est ce qu'il ne faudrait pas me laisser un peu de temps pour préparer ma séparation ? Se poser ces questions est essentiel à ce stade de votre cheminement, on ne fonce pas tête baissée dans une direction quand elle est aussi importante. Gardez-vous de la précipitation et prenez un peu de distance quand c'est possible.

Il est toujours bénéfique de se faire accompagné(e) par un thérapeute spécialisé, c'est une piste qu'il ne faut pas négliger. Les spécialistes pourront vous enseigner de nombreux outils qui vous aideront à y voir plus clair, à analyser votre situation de façon plus objective et plus constructive. Pour trouver un professionnel de confiance sur votre région, il vous suffit de nous solliciter, nous sommes là pour vous soutenir dans cette épreuve. Contactez-nous sans hésiter !

Choisir les mots pour quitter son partenaire

On constate souvent dans nos accompagnements les effets à long terme d'une rupture violente au sens inattendu et/ou traumatisant du terme. Laissons de côté les violences conjugales à l'origine d'une séparation, ces circonstances ne doivent plus faire débat, la rupture est alors une urgence absolue.

"Elle avait des propos incohérents, ses proches aussi ont remarqué qu'elle divaguait, on s'est même demandé si elle ne prenait pas de la drogue, c'est dire ! J'ai mis des mois à accepter de lui pardonner les choses qu'elle a pu dire au moment de me quitter, que des horreurs, des insultes injustifiées et des reproches. Je ne suis pas sûr de pouvoir oublier un jour mais j'arrive à vivre avec. Je vois un spécialiste, elle aussi a suivi une longue thérapie et ça nous a aidé à mieux communiquer, c'est fou les blessures que peuvent laisser des mots quand on subit sa séparation" Serge - Morbihan

"Nous étions mariés depuis 3 ans quand mon mari a décidé de me quitter.....par sms. On dirait une mauvaise fiction mais c'est la réalité, il m'a envoyé un texto pour me dire qu'il voulait divorcer et qu'il allait vivre chez sa soeur en attendant qu'on fasse les démarches. Par la suite, j'ai compris que c'était la seule solution mais il a fallu qu'il m'explique longuement et c'est dommage qu'on ait perdu tant d'énergie pour avoir de vraies conversations." Clarisse, Nord.

"Il m'a dit que j'étais moins désirable et moins intéressante que dans notre jeunesse, moins belle et moins coquette aussi. C'était un énorme rejet de celle que j'étais devenue après 22 ans de mariage. Outre les conséquences de notre séparation et le changement de vie total que ça a provoqué, le plus difficile a été de me remettre de ces déclarations ignobles. Ma féminité en a pris un coup, j'ai été sous médicaments pendant presque deux ans à cause de ça. Je vais mieux et j'ai retrouvé le goût de vivre et d'aimer grâce à mes proches et à mon médecin. Avec le temps, j'ai compris que son comportement avait été lamentable, il me quittait surtout pour une autre et je suis ravie de savoir qu'il s'est fait largué au bout de quelques mois, la roue tourne. En tous cas, ça aurait été bien moins terrible s'il m'avait épargné ces insultes gratuites, il aurait simplement pu être honnête." Joëlle, Nord

Contrairement à ce qu'on imagine, annoncer sa décision de rompre à son partenaire est un moment qui peut s'anticiper pour favoriser la compréhension mutuelle. Une rupture réfléchie permet d'affiner son discours et de trouver les propos adaptés à l'autre et à ses réalités. Mettre uniquement le doigt sur les défauts ou faiblesses de son conjoint ou de sa conjointe est une erreur. Nous devons nous poser les bonnes questions et ménager celui qui va recevoir notre décision de le ou la quitter. Veiller à ne pas oublier ce qui a fait notre histoire et si l'amour a disparu, ça ne doit pas pour autant tout remettre en cause, il y a eu du bon dans votre couple, il faut préserver ça, surtout si vous avez fondé une famille.

Votre ou vos enfants ont besoin d'avoir des repères stables parmi lesquels l'amour que vous partagiez au moment de les concevoir. Tout le monde s'accorde pour dire qu'un enfant souffrira bien davantage de la séparation du couple parental s'il est témoin de profonds rejets de la part de ses parents quant à l'origine même de leur union. Attention donc à ne pas s'enfoncer dans un cercle vicieux de réglements de comptes stériles. Personne ne va gagner, ce n'est pas un combat, ne vous enlisez pas dans de vielles rancunes stériles.

En tant qu'adulte, nous sommes responsables de ce que nous faisons vivre à nos petits, il faut par conséquent se monter vigilants et veiller à respecter l'équilibre de chaque membre de la famille.

 

Mais alors quels mots choisir pour dire qu'on veut rompre avec l'autre ? Comment quitter son mari ou sa femme ?

Difficile de répondre à cette question de façon exhaustive mais on peut vous donner quelques pistes puisées au grè de nos accompagnements sur mesure.

- Choisir un moment adapté, s'assurer qu'on ne sera pas dérangés et dégager un vrai temps pour échanger avec l'autre. On ne quitte pas quelqu'un avec lequel on a partagé des années de vie commune en quelques minutes. Il faudra s'expliquer, il y aura peut-être de la colère, du déni, des larmes, des cris, il y aura des questions, du désarroi et toutes ces émotions vont demander de l'attention et du self-contrôle. Prévoir un vrai moment pour parler, tenter de comprendre et de se faire comprendre.

- Echanger dans un lieu adapté, sans doute faut-il éviter d'encrer ce pénible moment dans un lieu familier ou symbolique. L'idéal serait de se retrouver dans un endroit neutre, loin de vos habitudes, loin du quotidien et dans lequel chacun se sentira en confiance. Un parc, un jardin public, une terrasse de café dégagée, une place, un cabinet de thérapeute... le champ des possibles est large, pourvu que ce soit dénué de tout lien avec l'histoire du couple ou avec la famille.

- Eviter de tout remettre en cause. Il est inutile de faire la révolution dans la relation pour y mettre un terme. Si vous êtes convaincu(e) du bien-fondé de votre décision, vous devez pouvoir l'expliquer sereinement et de façon relativement concise. Expliquer les raisons de votre choix n'implique pas d'entrer dans le détail de chacune d'elles, ce sera souvent contre-productif de triturer chaque difficulté et ce, même si votre partenaire aura besoin d'aller au fond des choses.

- Faites preuve d'empathie, la compassion est sans doute le meilleur levier de compréhension mutuelle à ce stade précoce de la séparation. Dites simplement et sincèrement votre souhait de vous séparer ou de divorcer. Donner les principales raisons de votre décision et soyez à l'écoute, humblement. Il ne s'agit pas de courber le dos à tout mais l'indulgence doit être cultivée ici, vous avez une responsabilité dans l'acceptation de votre décision de le ou la quitter.

- Soyez patient(e) ! Il est probable que votre conjoint(e) ait besoin de temps pour digérer la nouvelle, c'est donc inutile d'entrer dans le vif des sujets qui devront être abordés par la suite, il est trop tôt pour vous exprimer sur la façon dont vous envisagez les aspects concrets de votre séparation. Laissez passer quelques semaines, parfois quelques mois pour qu'il ou elle trouve ses marques et accuse le coup. Les phases successives d'acceptation sont délicates, elles exigent une solide capacité d'adaptation quand on n'est pas à l'initiative de la rupture. Il est toujours préférable d'avancer lentement mais sûrement plutôt que précipitamment et dans le désordre.

A vouloir aller trop vite, on dérive très rapidement vers des procédures de divorce ou de séparation contentieuses, coûteuses, énergivores et chronophages. A contrario, en prenant son temps pour la préparer, une séparation amiable sera bien moins chère, plus rapide et sur le plan émotionnel, bien moins traumatisante.

Si la communication est impossible pendant un moment, c'est sans doute mieux de réduire les échanges aux strict minimum.

L'organisation de la garde des enfants doit en revanche rapidement être abordée pour éviter les nombreux débordements qu'un manque de cohésion entre vous ne manquerait pas de générer. Faites au mieux pour préserver votre ou vos enfants et limiter les conflits entre vous à ce sujet.

Pour vous aiguiller dans cette problématique qui pose souvent des difficultés, vous pouvez solliciter les conseils d'avocats spécialisés de façon ponctuelle ou sur la durée. Grâce à notre partenaire Call a lawyer, réduisez les frais et accédez à une offre exclusive vous permettant, entre autres, d'échanger de manière illimitée avec des cabinets pour 72€ les 7 mois, soit à peine 10€ par mois pour des conseils en temps réel. Cliquez sur ce lien pour en profiter.

Le poids de la culpabilité dans le divorce et la rupture en général

Selon diverses études scientifiques à travers le monde, il est maintenant clairement établi que le poids de la culpabilité n'est plus seulement une métaphore mais correspond bien à une réalité physique. Celui qui se sent coupable voit ses capacités physiques amoindries, il a moins d'énergie, il sent une lourdeur continuelle au plus profond de son être et elle se traduit très concrètement sur sa capacité à gérer son quotidien et ses émotions. 

Ce serait trop facile de dire qu'i faut se débarrasser de la culpabilité et focaliser son attention sur soi exclusivement. C'est normal de se sentir perdu(e), d'y voir une forme de déshonneur, une faute même pour certains. Cela dit, c'est stérile de s'enfermer dans cette impasse de la culpabilité, ça ne fera avancer personne, à commencer par vous.

Attention aussi à l'entourage qui peut se montrer dur et accusateur dans un contexte de séparation. Veillez à prendre le temps d'expliquer paisiblement votre décision à ceux de vos proches qui auraient besoin de comprendre votre choix. Il n'est pas indispensable d'entrer dans les détails mais vous pouvez exprimer l'essentiel sans pour autant attendre l'assentiment de vos interlocuteurs. En tout état de cause, préparez-vous à être confronté(e) dans les premiers temps à la stupéfaction de vos proches et faites l'effort d'accueillir leurs interrogations avec bienveillance et douceur.

Si la culpabilité devient trop envahissante et que vous vous sentez démuni(e) face à votre décision de quitter votre conjoint(e), il faut réagir. Nous pouvons vous aiguiller vers les professionnels les plus à même de vous aider en fonction de vos besoins. N'hésitez pas à nous solliciter pour vous diriger de façon impartiale et efficace vers les bons interlocuteurs. Un thérapeute, un médiateur familial, un avocat, un notaire, un coach, les spécialistes susceptibles de vous accompagner sont nombreux mais cela dépend de votre situation. Demandez un bilan de situation gratuit à nos services.

Pour illustrer ces derniers points, quelques témoignages recueillis ces dernières années nous sont apparus très appropriés;

"J'assume aujourd'hui ma décision de divorcer de mon mari mais il m'a fallu 2 ans pour me libérer du poid de cette fichue culpabilité. Mon histoire n'est pas très originale, je n'étais plus amoureuse de l'homme avec lequel j'avais partagé 11 ans de ma vie et fait deux enfants magnifiques. Le pire souvenir que je garde de notre séparation est celui de l'annonce à nos filles qui avaient alors respectivement 8 et 6 ans. Il faut dire que leur père ne m'a pas fait de cadeau, il a clairement fait comprendre aux enfants que j'étais totalement responsable de ce drame, il a insisté sur le fait que je ne l'aimais plus et que je l'abandonnais. Je me sentais tellement mal face aux larmes de nos filles que j'ai failli faire un malaise.

Le divorce a pris un peu de temps car chaque accord faisait l'objet d'une forme de chantage affectif de la part de mon ex-mari. Il se servait de ma culpabilité pour me faire accepter plein de concessions et j'ai d'ailleurs cédé sur de nombreux sujets tellement je me sentais mal. Il a fallu que mon avocate me secoue lors d'un entretien pour que je prenne conscience qu'il y avait de l'abus et que je ne méritais pas de perdre tous mes droits sur notre patrimoine sous prétexte que j'avais choisi de mettre fin à notre couple.

C'était très difficile de subir toute cette procédure de divorce, heureusement que j'ai été bien conseillée par une avocate qui, même si elle ne cherchait pas la guerre, veillait à mes intérêts. J'ai été très affaiblie par ce long processus et par la suite, j'ai fait un travail thérapeutique avec un excellent praticien et ça m'a libérée des effets nuisibles de la culpabilité.

Petit à petit, j'ai appris à vivre avec ma responsabilité et j'ai pris conscience qu'on peut être à l'origine de la rupture sans en être l'unique coupable. Je n'entre volontairement pas dans les détails des raisons qui expliquent mon choix parce que ça n'apporterait rien à mon propos. Je dis simplement que ce n'est jamais tout noir ou tout blanc, il faut se montrer plus indulgent(e) avec soi-même. Nos enfants et nos proches comptent sur nous pour remonter la pente et retrouver un certain équilibre au plus vite." Mathilde, Var.

"J'ai quitté ma compagne au mois de Décembre 2019, un peu après Noël, je n'en pouvais plus. Au départ, je m'en voulais énormément, je faisais souffrir notre fils, nos familles, nos amis. Tout le monde avait son mot à dire et on s'en doute, je n'étais pas épargné par les commentaires de ceux qui avaient leur mot à dire. Au fur et à mesure, je me suis enfoncé dans l'isolement, j'étais rongé par la culpabilité et la honte.

Je n'aimais plus mon épouse mais j'avais néanmoins une belle relation avec elle avant de décider de la quitter. Nous avions encore une certaine complicité mais plus d'intimité et des désaccords profonds sur l'éducation de notre fils, la répartition des tâches ménagères, les loisirs et plein d'autres sujets. Notre entourage a été choqué par notre rupture et j'ai entendu beaucoup de critiques à mon encontre pendant des mois. Heureusement que mon frère avait traversé cet enfer un an avant, il a été d'un grand secours et c'est grâce à lui que je n'ai pas sombré. 

Lui qui était passé par là m'a très vite mis en garde contre les problèmes auxquels je serai confronté. Il m'a fait comprendre que je devrais faire profil bas sans pour autant m'écraser totalement. En réalité, personne n'est préparé à ça, il faut s'armer pour affronter les reproches et ne pas se remettre en question systématiquement. En prenant conscience de ça, on comprend que c'est normal et que ça passera, la tempête ne durera pas.

A présent, je ne me sens plus du tout coupable, surtout depuis que mon ex femme et moi avons fait de nouvelles rencontres. Elle reconnaît aussi que c'était la meilleure chose à faire, elle est plus heureuse aujourd'hui et moi aussi. Nos enfants et nos proches ne peuvent que constater qu'on va bien Il a fallu une période d'adaptation à tout le monde et c'est normal, faut se montrer patient." Baptiste, région parisienne.

Merci à nos témoins d'avoir apporter leurs petites pierres à notre édifice dont le principal objectif est de vous permettre d'aborder votre séparation sous d'autres angles. Quand on décide de se séparer, de divorcer, il est primordial de se préparer à cette transition de vie. Encore une fois, le moment de la décision est essentiel, il peut faire basculer la rupture vers une guerre ouverte ou un échange constructif qui, même s'il reste douloureux, permettra à chacun d'avancer sur son propre cheminement.

Nous sommes bien entendu à votre disposition pour aplanir les contraintes et difficultés liées à cette épreuve de la vie, n'hésitez pas à nous solliciter quelle que soit votre situation.